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Dans un an, les entreprises de la métallurgie devront avoir positionné leurs emplois sur la nouvelle grille de classification à 18 niveaux, à travers six critères classants.
Si la cotation des emplois est une prérogative unilatérale de l’employeur, les signataires de la nouvelle convention collective de la métallurgie ont tenu à ce que les entreprises de la branche impliquent les représentants des salariés le plus en amont possible pour partager un langage commun et suivre la déclinaison.
Un préalable d’autant plus indispensable que le guide paritaire d’aide à la déclinaison de la classification préconise une approche participative avec les salariés.
Quid de la réalité de l’ouverture du dialogue social pour assurer une déclinaison consensuelle de la classification dans les entreprises ?
Le 19 janvier, les représentants syndicaux de quatre entreprises (*) partagent leur expérience de la méthode sous l’oeil du cabinet Technologia.
Partir du bon pied sur la classification est essentiel car c’est le socle qui va servir ensuite à négocier une GEPP revue et corrigée mais aussi à revoir le sujet très sensible des critères d’évaluation des salariés qui peut devenir un nid à contentieux. Gare à l’effet boomerang en somme.
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