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Alors que la loi « pouvoir d’achat » de 2022 a ouvert un cas de déblocage exceptionnel pour faire face à l’inflation, moins de 1 % des encours ont été ainsi utilisés. Les syndicats se sont montrés peu favorables à cette mesure, privilégiant les NAO. A l’inverse, ils ont créé de nouveaux cas de déblocage dans l’ANI conclu le 10 février dernier sur le partage de la valeur, afin de favoriser la rénovation énergétique, l’acquisition d’un véhicule propre et la situation des salariés aidants. Au fil du temps, les cas de déblocage de l’épargne salariale se sont élargis. Il en existe 10 depuis la prise en compte, en 2019, des violences conjugales.
* Quels sont les cas de déblocage les plus utilisés et avec quelles évolutions dans le temps ?
* Les cas de déblocage sont-ils suffisamment connus des salariés ?
* Quelles sont les positions syndicales sur les conditions de sortie d’une épargne très avantageuse ?
* En quoi le recours au déblocage renseigne sur les besoins en pouvoir d’achat des salariés et donc sur les conditions salariales dans les entreprises ?
* Les cas de déblocage réduisent-ils ou incitent-ils à l’épargne ?
* Les salariés peuvent-ils se dispenser d’avoir une épargne de précaution ?
Autant de questions mises en discussion lors de ce direct organisé dans le cadre de la 7ème édition de la semaine de l’épargne salariale en partenariat avec Axa où interviendront :
– Sophie Mandelbaum, chargée des relations extérieures / partenaires sociaux, pour Axa santé & collectives
– Virginie Singer, directrice du développement commercial de l’épargne entreprise chez Axa santé & collectives
– Nicolas Schimmel, associé de Filib, coaching en épargne et retraite des salariés
– Raphaëlle Bertholon, experte confédérale CFE-CGC, négociatrice de l’ANI sur le partage de la valeur
– Philippe Vigneron, secrétaire confédéral CFDT en charge de l’investissement socialement responsable.
Webinaire en direct et en ligne. Inscriptions